But des adjuvants

Renforcer la réponse immunitaire.
– en augmentant la durée de protection des vaccins.
– en augmentant la protection contre des virus qui auraient muté.
– en garantissant l’efficacité de la réponse immunitaire. En effet l’antigène vaccinal purifié peut avoir perdu une partie de sa capacité stimulante.
– en diminuant le nombre d’injections.

 

 

 Différents adjuvants

Les sels d’aluminium

Utilisés depuis 1926 dans le monde avec des centaines de millions de doses injectées (de 0,2 à 0,5mg par vaccin).
Très bien tolérés, du nourrisson à la personne âgée.
Les effets indésirables reconnus sont locaux et bénins.
– douleur et gonflement au point d’injection.
– fièvre
– maux de tête.
Des inquiétudes sur le rôle des sels d’aluminium dans le développement des troubles neurologiques dégénératifs ou de maladies auto-immunes n’ont pas été démontrées à ce jour.
Aucune étude internationale à ce jour, ne peut remettre en cause l’innocuité de l’aluminium dans les vaccins. Mais des études sont régulièrement engagées aussi bien concernant les risques des sels d’aluminum que dans la possibilité de supprimer les adjuvants contreversés.

 

Les conservateurs antimicrobiens

pour empêcher la contamination microbienne et ou fongique.
– le thiomersal ou thimerosal (sel de mercure), utilisé dans les vaccins conditionnés en flacons
multidoses soit dans la production du vaccin, soit dans le vaccin final.
– Le 2-phénoxy-éthanol moins efficace que le thiomersal.
Des stabilisants (lactose, sorbitol, etc ..) pour assurer la conservation du vaccin.

 

sources :

– LEEM
– Ministère de la santé : vaccination info service
– Organisation Mondiale de la Santé. Juillet 2006